Weber: Missa sancta No. 1 E-flat major - Partition | Carus-Verlag

Carl Maria von Weber Missa sancta No. 1 E-flat major

Freischütz-Messe WeV A.2

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Malgré la grande charge de travail à laquelle il devait faire face en qualité de maître de chapelle à la cour de Dresde, Carl Maria von Weber écrit sa Missa sancta Nr. 1 in Es-Dur en seulement deux mois. L’œuvre a reçu le sous-titre de Freischütz-Messe parce que le compositeur avait interrompu son travail sur l’opéra du même nom en janvier et février 1818 pour composer la messe. Weber se présente ainsi à son nouvel employeur, le roi Frédéric Auguste Ier de Saxe, comme un compositeur polyvalent parce qu’en plus de sa mission principale, le développement de l’opéra allemand à la cour en parallèle de l’opéra italien existant, il avait aussi des engagements concernant la musique sacrée.

Dans cette messe, Weber aborde les réalités locales d’une façon particulière : il prend en compte la pratique liturgique de la cour de Dresde en ajoutant un offertoire aux mouvements de l’ordinaire de la messe et conçoit celui-ci comme un air virtuose écrit sur mesure pour le soprano star de Dresde Filippo Sassaroli. À cause de l’écho important dans l’église de la cour, il renonce aussi au changement rapide d’harmonie. Même si les critiques ont trouvé la messe trop « dans le style d’un opéra », elle est très bien accueillie par le public et plaît aussi au roi.

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  • Gekürztes Vorwort der Ausgabe Carus 27.097

    Karin Wollschläger

    Weber war bereits ein Jahr als Kapellmeister am Dresdner Hof tätig, als er im Januar 1818 begann, seine Messe No. 1 in Es-Dur zu komponieren. Er war mit dem ehrgeizigen Ziel engagiert worden, eine deutsche Oper, neben der bereits bestehenden italienischen, am Hof zu etablieren „... unter der Bedingung, dass er, wenn es von ihm verlangt wird, den Kirchendienst“ besorge (Anweisung König Friedrich August I. vom 14. Dezember 1816). Neben der beträchtlichen Probenarbeit und den zahlreichen Aufführungen am deutschen Opern-Departement hatte Weber also auch die Aufgaben eines „Kirchen- Compositeurs“ zu übernehmen. Diese bestanden vor allem darin, während des sonn- und feiertäglichen Hochamtes Figuralmusik in Form einer Messe, eines Offertoriums oder einer Motette sowie einer Kirchensinfonie aufzuführen. Trotz dieser großen Arbeitsbelastung, und obwohl er offiziell nicht dazu verpflichtet war, entschied sich Weber dazu, eine Messe für seinen Dienstherrn König Friedrich August I. von Sachsen zu komponieren. In nur zwei Monaten – vom 1. Januar bis 6. März 1818 – setzte Weber sein Vorhaben um und

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  • Abridged foreword of the Edition Carus 27.097

    Karin Wollschläger
    Translation: Gudrun and David Kosvine

    Weber had already spent a year as Kapellmeister at the Dresden court when he began composing his Mass no. 1 in E flat major in January 1818. He had been engaged with the ambitious objective of establishing a German opera at court alongside the already existing Italian opera “... on condition that, if required, he would provide music for church services” (Directive by King Friedrich August I dated 14 December 1816). Thus, in addition to the considerable rehearsal workload and numerous performances in the German opera department, Weber also had to fulfill the duties of a “church composer.” These consisted primarily of performing figural music in the form of a mass, an offertory or motet, as well as a church symphony during Sunday and festive high mass. Despite this heavy workload, and although he was not officially obliged to do so, Weber decided to compose a mass for his employer, King Frederick August I of Saxony. In only two months – from January 1 to March 6 1818 – Weber realized his plan and composed his first mass; it was later given the nickname “Freischütz-Mass” because he

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Informations complémentaires sur l'œuvre

Critiques

Diese Neuausgabe hat daher auch die Aufführungspraxis im Blick, freilich ist sie gleichfalls sauber und ausführlich ediert und enthält natürlich auch ein Vorwort zur Werkgeschichte.

Das Orchester, 05/2022

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Questions fréquentes sur l'œuvre

L’édition comprend-elle aussi l’offertoire « Gloria et honore » composé par Weber pour la Messe du Freischütz ?

Oui, notre édition inclut l’offertoire. Avec son écriture à la manière d’un opéra, il constitue un enrichissement de la Messe d’un point de vue musical. Mais on peut bien entendu aussi le supprimer lors d’une représentation parce qu’il ne fait pas partie de l’ordinaire et il a d’ailleurs toujours été conservé séparément.
Oui, les 25 premières mesures du Sanctus sont à huit voix, mais majoritairement homophones.
Non. La soprano a indiscutablement le rôle principal. Les trois autres parties solistes se limitent à de courts solos (ténor et basse) et à des passages d’ensemble.
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