Ach Gott, vom Himmel sieh darein
Cantate pour le 2ème dimanche après la Trinité BWV 2, 1724
Bach compose Ach Gott, vom Himmel sieh darein (Ô Dieu, du ciel, regarde ici-bas) BWV 2 pour le deuxième dimanche après la Trinité 1724 comme deuxième cantate du cycle. Elle se fonde sur l’adaptation du Psaume 112 par Martin Luther. Le mouvement d’entrée fait partie d’un ensemble d’introductions de cantates qui ne sont pas traitées de manière concertante, mais dans le genre du motet ; les instruments doublent les parties vocales. Le caractère archaïque du mouvement est souligné par le recours à un quatuor de trombones. Le côté concertant est d’autant plus présent dans le premier air pour alto, violon solo et continuo. Le premier récitatif secco est particulier. Deux fragments du cantique sont intégrés sous forme d’arioso, dans le texte et la mélodie, également reprise en canon par le continuo.
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texte (pas de notes) & licence d'impression, fichier html, Paroles, traduction en anglaisfichier html, Paroles, traduction en anglais (Extrait)1 CoroO God, from heaven look on us
2 Recitativo
And show us thy compassion;
forsaken is thy band of saints,
the remnant of thy portion!
Thy word is treated with contempt,
the light of faith no more shines bright
among thy mortal children.They teach deception and untruth,
opposed to God and to his own true faith,
which their untutored wits do fashion.
O sorrow that offends thy congregation:
this serves instead of thine own word.
For one seeks after this, another that,
and foolish idle talk is all they want.
Like whited sepulchres they glitter,
which, though they may appear unstained,
decay and rot have deep within them,
And only filth have to adorn them....
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texte (pas de notes) & licence d'impression, fichier html, Paroles, originalfichier html, Paroles, original (Extrait)1 Coro
Ach Gott, vom Himmel sieh darein
2 Recitativo (Solo T)
und lass dichs doch erbarmen,
wie wenig sind der Heilgen dein,
verlassen sind wir Armen!
Dein Wort man nicht lässt haben wahr,
der Glaub ist auch verloschen gar
bei allen Menschenkindern.Sie lehren eitel falsche List,
was wider Gott und seine Wahrheit ist,
und was der eigen Witz erdenket,
o Jammer, der die Kirche schmerzlich kränket,
das muss anstatt der Bibel stehn.
Der eine wählet dies, der andre das,
die törichte Vernunft ist ihr Kompass,
sie gleichen denen Totengräbern,
die, ob sie zwar von außen schön,
nur Stank und Moder in sich fassen,
und lauter Unflat sehen lassen....
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texte (pas de notes) & licence d'impression, fichier html, Texte introductif, en anglaisfichier html, Texte introductif, en anglais (Extrait)Foreword of the Edition Carus 31.002/03
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texte (pas de notes) & licence d'impression, fichier html, Texte introductif, en allemandfichier html, Texte introductif, en allemand (Extrait)Vorwort der Ausgabe Carus 31.002/03
Hans-Joachim Schulze
Die 1724 komponierte Kantate fußt auf dem gleichnamigen Choral, dem Hauptlied des 2. Trinitatissonntags. Inhaltlich steht das Lied in engem Konnex zum Evangelium des Sonntags, dem zu Jesu Tischreden gehörigen Gleichnis vom großen Abendmahl im 14. Kapitel bei Lukas. Von dieser Erzählung mit ihrer Betroffenheit über das Wegbleiben der geladenen Gäste und das Fadenscheinige ihrer Entschuldigungen ist der Weg nicht weit zu der Quelle des Chorals, dem 12. Psalm und seiner Klage über die Abnahme der Frommen und die Übermacht des Bösen, aber auch seinem Vertrauen auf göttliche Hilfe: „Hilf Herr! die Heiligen haben abgenommen, und der Gläubigen ist wenig unter den Menschenkindern ...“ Das 1524 zuerst nachweisbare Lied über den 12. Psalm „Salvum me fac, Domine“ gehört zu einer Folge von „etlichen Psalm, zu geistlichen liedern / deutsch gemacht / Durch Dr. Martinum Luther“, wie es in Gesangbüchern der Zeit heißt. Luthers sechsstrophige Nachdichtung schließt sich eng an den Gedankengang des Psalmisten an, erweitert und verdeutlicht jedoch diese Vorlage. Seine erste Strophe gewinnt Luther aus dem „Hilf Herr! die Heiligen haben abgenommen und der Gläubigen ist wenig
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Informations complémentaires sur l'œuvre
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Compositeur
Johann Sebastian Bach
| 1685-1750Jean Sébastien Bach compte parmi les compositeurs essentiels de l'histoire de la musique occidentale. Il faisait partie d'une grande dynastie de musiciens, dont furent originaires nombre de musiciens municipaux et d'organistes dans les régions de Thuringe et de Saxe.
Bach vocal
Depuis la fondation des Éditions Carus en 1972, la publication des oeuvres de Johann Sebastian Bach revêt une importance particulière. En 2017, année du 500e anniversaire de la Réforme, nous avons clôturé le projet Bach vocal. L'intégralité de la musique vocale sacrée de Bach est désormais disponible en éditions modernes des textes originaux, matériel d'exécution compris. Une édition globale de toutes les partitions dans un coffret de grande qualité est aussi proposée. Plus d'information sur la personne
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Éditeur
Reinhold Kubik
| 1942
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Parolier/Librettiste
Martin Luther
| 1483-1546
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Basse continue réalisée
Reinhold Kubik
| 1942
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L'auteur de l'avant-propos
Hans-Joachim Schulze
| 1934Hans-Joachim Schulze, Jahrgang 1934, war Direktor des Bach-Archivs-Leipzig und lehrte an der Martin-Luther-Universität Halle-Wittenberg und an der Hochschule für Musik und Theater in Leipzig. Er ist Autor zahlreicher Publikationen zu Bach und seiner Zeit Plus d'information sur la personne
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